20 lavis d'encre de Chine sur papier 24x30 cm encadrés.
A partir de recherches d'archives photographiques au Ruhr Museum, Lionel Pralus a choisi
d'associer des fragments d'images dans un récit étrange, inquiétant, parfois violent qui se décolle
de la réalité. Ces parcelles d'histoires ont été redessinées, transformées par ce glissement de
technique de la photographie reproduite au geste unique et irréparable du lavis.
Ce passage au dessin est né en premier lieu de l’impossibilité pour l'artiste d'accéder
aux images numériques glanées sur les banques de données.
Puis le temps étiré face à la feuille, si différent de celui du photographe face à sont appareil
ou son ordinateur, l'a plongé dans une forme de méditation, dans une attention accrue à
ces magnifiques archives, les lavis se transformant en hommage, parfois en gommage.
d'associer des fragments d'images dans un récit étrange, inquiétant, parfois violent qui se décolle
de la réalité. Ces parcelles d'histoires ont été redessinées, transformées par ce glissement de
technique de la photographie reproduite au geste unique et irréparable du lavis.
Ce passage au dessin est né en premier lieu de l’impossibilité pour l'artiste d'accéder
aux images numériques glanées sur les banques de données.
Puis le temps étiré face à la feuille, si différent de celui du photographe face à sont appareil
ou son ordinateur, l'a plongé dans une forme de méditation, dans une attention accrue à
ces magnifiques archives, les lavis se transformant en hommage, parfois en gommage.
D'après les photographies de : Rudolf Holtappel, Peter Kleu, Willy van Heekern, Ruth Hallensleben, Johann Schmidt, Johann Schmidt, Anton Tripp, Marga Kingler, Christoph Henning, Wolf Schöne, Wilhelm Reimers, Herribert Konopka - Fotoarchiv des Ruhrmuseums.